
lejardindekiche@yahoo.com
Numéro
06 42 58 17 07
Localisation
Normandie
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06 42 58 17 07
Normandie
Le particulier fait avec ce qu’il a. Entre les chiens de particuliers peu scrupuleux et des chiens provenant d’élevages de qualité, la différence est indéniable. Avant même la naissance du chiot, le travail de l’éleveur est de sélectionner les parents : morphologie, caractère, santé, aptitudes au travail, relation avec l’humain, et beaucoup d’autres critères entrent en compte. Deux élevages de bergers australien peuvent avoir des buts diamétralement opposés, tout en restant égaux en qualité. L’un voudra des chiens de travail, et sélectionnera des parents plus légers, vifs, au caractère prononcé et à l’envie de bien faire. L’autre cherchera des chiens de famille polyvalents et pourra faire plus attention aux couleurs des robes, au caractère tranquille mais aventureux, et au niveau d’énergie bas. Aucun de ces élevages n’est mieux que l’autre : ils correspondent juste à des besoins différents. Mais le point principal est là : ils sélectionnent pour avoir des sujets adaptés à un mode de vie spécifique. Un travail bien plus complexe que juste marier deux chiens parce qu’ils sont beaux. Dans le pomsky, l’éleveur professionnel va choisir et sélectionner minutieusement ses reproducteurs pour obtenir un physique de husky en modèle réduit avec un tempérament de chien de compagnie. S’il est sérieux, il consacre un temps, une énergie et des sommes d’argent importantes pour importer les plus belles lignées de l’étranger et créer ses lignées à lui. Le particulier n’a pas ce choix ni cette possibilité de sélectionner. Il fait ce qu’il peut avec ce qu’il a : son unique chien de compagnie.
Les tests de santé sont des prestations médicales (test ADN, radiographie, dosage biochimique...) qui servent dans le diagnostic des maladies héréditaires. Ces dépistages permettent un meilleur suivi vétérinaire du chien et, si nécessaire et disponible, la mise en place d’un traitement précoce. On permet donc d’éviter les accouplements à risque et la naissance de chiots atteints ou prédisposés. Les tests varient grandement de race en race : pour les petits chiens, on cite majoritairement la luxation de la rotule et les tares oculaires. Pour les grands chiens, c’est surtout la dysplasie des hanches. Chaque race possède des tests obligatoires et facultatifs variant en coût (entre 50 et 250€). Bien entendu, il est toujours possible que deux individus testés sains puissent donner naissance à un individu atteint (la joie des gènes récessifs) mais il est tout de même plus rassurant d’adopter un grand pomsky F3 en sachant qu’aucune dysplasie n’a été enregistrée depuis trois générations. Bien entendu, pour qu’une telle affirmation fasse foi... Il faut avoir les résultats des tests entre les mains. L’éleveur vend ses chiots avec une attestation du vétérinaire qui déclare la bonne santé de chaque sujet après examen clinique.
À part bien entendu les très gros élevages “usines à chiots”qui sont à fuir, le particulier ne prend pas toujours le temps. L’importance capitale, monumentale de la socialisation n’est plus à démontrer. Un chiot qui aura passé ses premières semaines dans une grange ou au fond d’un jardin s’adaptera bien moins qu’un chiot grandissant dans un environnement riche. Les sons, les textures, les manipulations, les odeurs, tout ce qu’un jeune chiot expérimentera pendant son premier mois lui permettra de s’adapter plus vite, d’être moins réservé et plus polyvalent. On ne cite plus les avantages des terrains de jeux pour chiots, qui leur permettent d’améliorer leur coordination et leur mobilité. Pousser des jouets, les tirer, les mordre, pouvoir courir, ramper, escalader, enjamber sont des actes que chaque chiot devrait vivre avant ses huit semaines car ils participent à sa construction motrice. De même, être brossé, câliné, apprendre à jouer, à être récompensé, à interagir avec les chiens, les chats et les humains sont autant de compétences qu’il est important de développer précocement. Un chiot non socialisé risque de devenir un adulte craintif, agressif et déséquilibré.
À part bien entendu les très gros élevages “usines à chiots”qui sont à fuir, le particulier ne prend pas toujours le temps. L’importance capitale, monumentale de la socialisation n’est plus à démontrer. Un chiot qui aura passé ses premières semaines dans une grange ou au fond d’un jardin s’adaptera bien moins qu’un chiot grandissant dans un environnement riche. Les sons, les textures, les manipulations, les odeurs, tout ce qu’un jeune chiot expérimentera pendant son premier mois lui permettra de s’adapter plus vite, d’être moins réservé et plus polyvalent. On ne cite plus les avantages des terrains de jeux pour chiots, qui leur permettent d’améliorer leur coordination et leur mobilité. Pousser des jouets, les tirer, les mordre, pouvoir courir, ramper, escalader, enjamber sont des actes que chaque chiot devrait vivre avant ses huit semaines car ils participent à sa construction motrice. De même, être brossé, câliné, apprendre à jouer, à être récompensé, à interagir avec les chiens, les chats et les humains sont autant de compétences qu’il est important de développer précocement. Un chiot non socialisé risque de devenir un adulte craintif, agressif et déséquilibré.
À part bien entendu les très gros élevages “usines à chiots”qui sont à fuir, le particulier ne prend pas toujours le temps. L’importance capitale, monumentale de la socialisation n’est plus à démontrer. Un chiot qui aura passé ses premières semaines dans une grange ou au fond d’un jardin s’adaptera bien moins qu’un chiot grandissant dans un environnement riche. Les sons, les textures, les manipulations, les odeurs, tout ce qu’un jeune chiot expérimentera pendant son premier mois lui permettra de s’adapter plus vite, d’être moins réservé et plus polyvalent. On ne cite plus les avantages des terrains de jeux pour chiots, qui leur permettent d’améliorer leur coordination et leur mobilité. Pousser des jouets, les tirer, les mordre, pouvoir courir, ramper, escalader, enjamber sont des actes que chaque chiot devrait vivre avant ses huit semaines car ils participent à sa construction motrice. De même, être brossé, câliné, apprendre à jouer, à être récompensé, à interagir avec les chiens, les chats et les humains sont autant de compétences qu’il est important de développer précocement. Un chiot non socialisé risque de devenir un adulte craintif, agressif et déséquilibré.
Le particulier a avant tout un souci financier. Il veut vendre vite quitte à casser un peu les prix, sans se préoccuper forcément de la qualité de vie future des chiots. C’est malheureusement ce genre de pratique qui favorise les futurs abandons et remplit les refuges.